Qu’est ce qu’une fracture de fatigue et comment la traiter ?

La fracture de fatigue est une blessure causée par un entraînement trop intensif ou une fatigue importante. Courante chez les sportifs, elle peut également se développer à la suite de l’utilisation normale d’un os affaibli par une maladie telle que l’ostéoporose. Quels sont ses causes et ses symptômes ? Et comment la traiter et la prévenir ?

Fracture de fatigue : c’est quoi ? 

La fracture de fatigue, ou fracture de stress, est une blessure causée par l’utilisation ou la fatigue excessive d’un os. Elle est fréquente au niveau des os des membres inférieurs, à l’instar du tibia et du pied. Les athlètes sont ainsi plus à risque, mais n’importe qui peut la développer. Il est ainsi possible d’avoir une fracture de stress en commençant un nouvel entraînement ou en étant atteint d’une maladie telle que l’ostéoporose. Il est donc essentiel de reprendre le sport en douceur.

Quels sont les symptômes ? 

Bien que les premières douleurs associées à une fracture de stress sont à peine remarquables, elles ont tendance à s’aggraver avec le temps. Les symptômes d’une fracture de stress peuvent inclure une sensibilité au toucher de l’os ainsi qu’un gonflement au niveau de l’endroit de la fracture. Vous pouvez également remarquer une douleur pendant l’activité qui peut ou pas disparaître au repos. Dans certains cas, la douleur survient au repos ou pendant une activité normale, à l’instar de la marche. 

Si une fracture de fatigue n’est pas traitée à un stade précoce, la douleur peut devenir intense. Il existe également un risque que la fracture se déplace. Certaines fractures de stress, au niveau de la hanche par exemple, sont considérées à haut risque,  car elles peuvent entraîner plusieurs complications si elles ne sont pas traitées rapidement. 

Les causes d’une fracture de fatigue 

Les fractures de fatigue dans les os du pied sont généralement causées par un surentraînement ou une utilisation excessive. L’augmentation trop rapide de la durée, du type ou de l’intensité de l’exercice est une autre cause fréquente. Courir avec de vieilles chaussures usées peut également entraîner une fracture de fatigue. 

Les femmes semblent être plus à risque de fractures de fatigue du pied que les hommes. Cela peut être lié à une condition appelée « la triade de l’athlète féminine« . Celle-ci est une combinaison de troubles de l’alimentation et d’aménorrhée (cycle menstruel peu fréquent), prédisposant les femmes à l’ostéoporose précoce (amincissement des os).

Les sports à fort impact tels que la course, la gymnastique et le volley-ball peuvent augmenter le risque de fractures de stress. Sans de bonnes chaussures, une bonne force musculaire ou un repos adéquat entre les entraînements, un athlète peut développer une fracture de stress.

Le diagnostic

Afin de diagnostiquer une fracture de stress, un médecin procédera à une anamnèse complète et à un examen physique. Il est important que les athlètes expliquent leur entraînement, à savoir le type d’exercice, ainsi que la fréquence d’entraînement. Les radiographies peuvent ne pas révéler une fracture de fatigue, mais sont utiles pour montrer des signes de remodelage osseux à proximité de la fracture. Une IRM ou une scintigraphie osseuse est plus à même de montrer une fracture de fatigue.

Traiter une fracture de fatigue 

Le meilleur traitement pour une fracture de fatigue est le repos. La plupart des fractures de fatigue guérissent d’elles-mêmes si vous réduisez votre niveau d’activité et portez des chaussures de protection pendant un certain temps. Il est donc important de cesser l’activité qui a causé votre problème en premier lieu, pour une durée d’environ 6 semaines. Si un athlète traverse la douleur et s’entraîne avec une fracture de fatigue, elle peut devenir une blessure chronique et ne pas guérir correctement.

Comment prévenir les fractures de stress ?

Vous pouvez prendre certaines mesures pour prévenir une fracture de fatigue ou éviter des complications post-fracture
Ainsi, augmentez progressivement le temps, la vitesse et la distance. De nombreux experts suggèrent une augmentation de 10% du temps d’exercice par semaine. Les exercices de rééducation peuvent également vous aider à vous remettre d’une précédente fracture. En outre, n’hésitez pas à alterner et diversifier vos activités physiques. Mangez des aliments riches en calcium et assurez-vous d’avoir suffisamment de vitamine D, notamment si vous êtes une athlète féminine. N’hésitez pas à prendre des compléments alimentaires pour être en forme. Portez des chaussures appropriées au sport que vous pratiquez et remplacez les chaussures si nécessaire. Si la douleur ou l’enflure commence, arrêtez immédiatement l’activité et reposez-vous quelques jours. Toutefois, si la douleur persiste, consultez votre médecin.

Pneumonie : le point sur cette infection respiratoire

La pneumonie est une infection bactérienne ou virale des poumons. Les symptômes peuvent inclure de la fièvre, des frissons, un essoufflement, une toux qui produit des mucosités et des douleurs thoraciques. Elle peut généralement être traitée à domicile avec des antibiotiques, mais certains cas peuvent nécessiter une hospitalisation. 

Pneumonie : définition et causes

La pneumonie est une infection respiratoire aiguë affectant l’un ou les deux poumons. L’infection entraîne une inflammation des alvéoles, les sacs aériens. Les alvéoles se remplissent de liquide ou de pus, rendant ainsi la respiration difficile et limitant l’absorption d’oxygène. 

La pneumonie est causée par des bactéries, des virus ou des champignons. Les formes virales et bactériennes sont contagieuses. Cela signifie qu’ells peuvent se propager d’une personne à l’autre par inhalation de gouttelettes en suspension dans l’air provenant d’un éternuement ou d’une toux. Vous pouvez également contracter ces types en entrant en contact avec des surfaces ou des objets contaminés par des bactéries ou des virus. Toutefois, la pneumonie fongique ne se transmet pas d’une personne à l’autre. 

Qui sont les personnes à risque ? 

N’importe qui peut développer une pneumonie, mais certains groupes sont plus à risque, notamment les bébés et nouveaux nés, en particulier ceux nés prématurément, ainsi que les personnes âgées de plus de 65 ans. Les personnes qui ont une infection virale récente ou atteintes de maladies pulmonaires chroniques, tels que l’asthme ou la bronchite, sont également plus à risque. Enfin, les fumeurs, les personnes dont le système immunitaire est affaibli et celles qui ont une mauvaise alimentation sont plus susceptibles de développer une pneumonie.  

Les signes et symptômes de la pneumonie 

La pneumonie virale a tendance à se développer lentement sur plusieurs jours, tandis que la forme bactérienne se développe généralement rapidement, souvent sur une journée. La plupart des personnes qui développent une pneumonie ont initialement une infection virale telle qu’un rhume ou une grippe. Les symptômes comprennent généralement de la fièvre, des frissons, une respiration rapide, une aggravation de la toux produisant du mucus ainsi qu’une douleur thoracique lors de la respiration.

Chez les bébés et les enfants, les symptômes peuvent être moins spécifiques sans signes clairs d’infection pulmonaire. Ils auront généralement de la fièvre ainsi qu’une respiration bruyante ou saccadée. Ils peuvent également avoir des difficultés à manger.  

Les personnes âgées de plus de 65 ans atteintes de pneumonie peuvent montrer des signes de confusion ou une conscience mentale réduite.

Il est également possible que la peau, les lèvres et les ongles deviennent sombres ou bleutés. C’est un signe que les poumons sont incapables de fournir suffisamment d’oxygène au corps. Si cela se produit, il est essentiel de consulter immédiatement un médecin.

Le diagnostic 

Si une pneumonie est suspectée, il est important de consulter rapidement un médecin afin qu’un diagnostic précis puisse être posé et qu’un traitement approprié puisse être administré.

Le médecin prendra un historique médical et procédera à un examen physique.  Une radiographie pulmonaire est généralement prise afin de confirmer le diagnostic et de montrer les zones du poumon touchées. Des tests sanguins peuvent également être effectués et un échantillon de crachats peut être envoyé au laboratoire pour analyse.

Comment traiter la pneumonie ? 

La plupart des cas peuvent être traités à domicile. Cependant, les bébés, les enfants et les personnes atteintes de pneumonie grave peuvent devoir être hospitalisés pour traitement. Elle est généralement traitée avec des antibiotiques, même si une pneumonie virale est suspectée. 

Le patient peut prendre plusieurs semaines pour se remettre d’une pneumonie. La toux peut continuer jusqu’à ce que le mucus ait été éliminé des poumons. Cela fait partie du processus de récupération. La fatigue et une capacité réduite à faire de l’exercice peuvent également être ressenties.

Comment la prévenir ?

Certaines mesures peuvent être prises pour réduire le risque de contracter une pneumonie. 

  • Allaiter bébé, de préférence au-delà de quatre mois, afin de renforcer son système immunitaire.
  • Arrêter de fumer et veillez à ne pas respirer de la fumée.
  • Garder votre maison au chaud et bien aérée.
  • La vaccination, qui reste le meilleur moyen de se protéger contre la pneumonie et d’éviter ses formes graves.
  • Éviter tout contact avec des personnes qui ont le rhume, la grippe ou d’autres infections.

Les bienfaits du régime méditerranéen

Le régime méditerranéen, ou régime crétois, a explosé en popularité ces dernières années, et il n’est pas difficile d’imaginer pourquoi. Il présente énormément de bienfaits importants pour la santé, encourage la diversité alimentaire et comprend des aliments de tous les groupes alimentaires. 

Le régime méditerranéen réduit le risque de maladies cardiaques 

S’il y a une chose pour laquelle le régime méditerranéen est connu, c’est la santé cardiaque. Ce n’est un secret pour personne : le régime méditerranéen est bon pour le cœur. Par exemple, le risque de décès des personnes mangeant méditerranéen est 37% plus faible que les autres personnes. Le régime crétois protège également contre diverses formes de maladies cardiaques et réduit le risque de les développer. 

L’impact du régime sur la santé cognitive 

Suivre un régime méditerranéen pourrait ralentir le déclin cognitif et prévenir des maladies comme la maladie d’Alzheimer. Des recherches supplémentaires sont nécessaires, mais les découvertes actuelles sont prometteuses ! Ainsi le régime crétois peut améliorer la santé du cerveau, protéger des effets néfastes du vieillissement et augmenter les performances cognitives

Le régime méditerranéen et la perte de poids

Si vous cherchez à perdre du poids, pensez au régime méditerranéen. Les études suggèrent que ce régime peut aider à perdre du poids et à maintenir un poids santé. Une vaste étude réalisée en 2018 a également révélé que suivre un régime méditerranéen réduit le risque d’obésité abdominale.

Le régime crétois pour prévenir et gérer le diabète 

Il peut sembler contre-intuitif qu’un régime alimentaire mettant l’accent sur les aliments riches en glucides, puissent aider à gérer ou à prévenir le diabète de type 2. Toutefois, ce régime met l’accent sur les grains entiers et les glucides provenant des légumes, qui n’affectent pas la glycémie de la même manière que les glucides raffinés. Le régime crétois comprend également des graisses et de protéines saines. En outre, le mode de vie méditerranéen encourage l’activité physique, ce qui aide à gérer et à prévenir le diabète. Et bien sûr, les études montrent bien que les personnes suivant un régime méditerrannéen ont un risque plus faible de développer un diabète de type 2.

Prévenir et protéger de certains cancers

Le régime méditerranéen est bien connu pour sa protection contre les maladies chroniques comme le diabète et les maladies cardiovasculaires. Il s’avère que ce régime anti-inflammatoire et riche en antioxydants peut également protéger contre certains cancers. Une étude a conclu que le régime crétois peut protéger contre le cancer du sein, de l’estomac, du foie et de la prostate. Une autre étude a également mis en lumière les bienfaits de ce régime contre le cancer du sein.

Le régime méditerranéen pour réduire la tension artérielle

La tension artérielle et le cholestérol LDL (soit le mauvais cholestérol) sont deux marqueurs importants de la santé. Heureusement, il existe de nombreuses façons de gérer et de réduire votre tension artérielle et votre cholestérol LDL. Le régime méditerranéen étant l’un d’eux. Une étude constate que les personnes suivant un régime crétois avaient un meilleur taux de cholestérol. Une autre étude a conclu que ce régime pouvait réduire la tension artérielle chez les personnes souffrant ou non d’hypertension. 

Un régime qui s’adapte à vos préférences alimentaires

Que vous soyez végétalien, végétarien, paléo, sans gluten, sans produits laitiers ou autre, vous pouvez trouver un moyen de prospérer avec le régime méditerranéen. Bien sûr, le régime fonctionne mieux lorsque vous autorisez tous les groupes d’aliments qu’il met en avant, mais vous pouvez le modifier pour l’adapter à vos préférences alimentaires. Ce mode d’alimentation met l’accent sur la modération et la variété, favorisant ainsi la santé, sans restrictions. 

Un mode de vie qui encourage l’exercice

Le régime crétois est l’un des rares régimes qui implémentent l’activité physique dans le cadre du régime alimentaire. Les personnes qui font régulièrement de l’exercice sont plus susceptibles de s’alimenter plus sainement tout au long de la journée. Plus intéressant encore, suivre un régime crétois pourrait améliorer vos performances physiques

Tout savoir sur le syndrome du côlon irritable

Le syndrome du côlon irritable (SCI), également appelé syndrome de l’intestin irritable ou troubles fonctionnels intestinaux, est un trouble gastro-intestinal fonctionnel. Quels sont les symptômes du SCI ? Comment se passe le diagnostic ? Et quel est son traitement ? Les conseils de cet article sont donnés à titre indicatif et n’engagent pas la responsabilité de PMIF. En cas de doute, consultez votre médecin.

Syndrome du côlon irritable : définition 

Le syndrome du côlon irritable est une maladie chronique qui affecte le gros intestin. Les signes et les symptômes comprennent des crampes, des douleurs abdominales, des ballonnements, des gaz ainsi que de la diarrhée ou de la constipation, ou les deux. Heureusement, très peu de personnes atteintes du SCI présentent des symptômes graves. En effet, il est possible de contrôler les symptômes en gérant l’alimentation, le mode de vie et le stress. 

Il y a 3 types du syndrôme du côlon irritable basés sur les selles. Il est parfois important de le connaître car certains médicaments ne fonctionnent que pour certains types de SCI. 

  • SCI avec constipation (SCI-C). La plupart des selles sont dures. 
  • SCI avec diarrhée (SCI-D). La plupart des selles sont molles ou liquides. 
  • SCI avec selles mixtes (SCI-M). Les selles peuvent être dures ou molles. 

Syndrome du côlon irritable : symptômes

Les signes et les symptômes du SCI varient mais sont généralement présents pendant une longue période. En outre, comme c’est un trouble chronique, le SCI peut durer des années avec ou sans présence de symptômes en fonction des périodes. Les symptômes peuvent être déclenchés par l’alimentation et le stress. Les plus courants incluent : 

  • Des douleurs abdominales, crampes ou ballonnements liés au passage des selles.
  • Des changements dans l’apparence et la fréquence des selles. 
  • Une augmentation des gaz ou la présence de mucus dans les selles.

Bien que le SCI puisse être douloureux, il n’entraîne pas d’autres problèmes de santé.  En outre, les femmes atteintes du syndrome du côlon irritable ont souvent plus de symptômes pendant leurs règles.

Les signes et symptômes les plus graves comprennent une perte de poids, de la diarrhée la nuit, un saignement rectal, une carence en fer, des vomissements inexpliquées, une difficulté à avaler ainsi que des douleurs persistantes non soulagées par les gaz ou les selles. Il est important de consulter un médecin si vous constatez la présence d’un ou de plusieurs de ces symptômes.

Causes et facteurs de risque

La cause précise du syndrome du côlon irritable n’est pas connue. Toutefois, il existe certains facteurs de risque. Par exemple, le fait d’avoir un membre de la famille touché par le syndrome, le fait d’avoir vécu des événements stressants ou difficiles dans la vie ou le fait d’avoir eu une infection dans le tube digestif. Le SCI peut aussi être associé à un surplus ou à un changement de bactéries dans les intestins.  

Le système nerveux semble également jouer un rôle. En effet, le SCI peut être le résultat d’un problème d’interaction entre le cerveau et l’intestin. Ainsi, des anomalies au niveau des nerfs du système digestif peuvent vous faire ressentir un inconfort supérieur à la normale. Des signaux mal coordonnés entre le cerveau et les intestins peuvent également amener votre corps à réagir de manière excessive au processus digestif. Cela peut ainsi entraîner des douleurs, de la diarrhée ou de la constipation.

En outre, les femmes sont jusqu’à deux fois plus susceptibles que les hommes de développer le SCI. Le syndrome est également plus présent chez les personnes de moins de 50 ans. 

Comment diagnostiquer le SCI

Il n’y a pas de test précis pour repérer le syndrome du côlon irritable. Pour diagnostiquer ce trouble, le médecin recherchera une certaine tendance dans vos symptômes au fil du temps. Il pourra également examiner vos antécédents médicaux et familiaux. Le médecin peut aussi procéder à un examen physique. Dans certains cas, il est possible de faire des tests pour exclure d’autres problèmes de santé. Ces tests incluent, entre autres, des analyses de sang et de selles. 

Traitement du syndrome du côlon irritable 

Le traitement du SCI se concentre sur le soulagement des symptômes afin que vous puissiez vivre aussi normalement que possible. Les signes et symptômes légers peuvent souvent être contrôlés en gérant le stress et en modifiant votre alimentation et votre mode de vie. Ainsi, il est important d’éviter les aliments qui déclenchent des symptômes, de bien s’hydrater, d’être actif, de gérer le stress et de dormir suffisamment. 

Syndrome du côlon irritable : Alimentation 

Inclure plus de fibres. Les fibres permettent de soulager la constipation car elles rendent les selles molles et faciles à évacuer. Il est recommandé de consommer entre 22 à 34 grammes de fibres par jour. Il existe deux types de fibres : Les fibres solubles, que l’on trouve dans les légumineuses, les fruits et les produits à base d’avoine, et les fibres insolubles, présentes dans les aliments à grains entiers et les légumes. Les fibres solubles sont plus adaptées pour soulager les symptômes du SCI. Il est conseillé d’ajouter lentement des fibres à votre alimentation, soit 2 à 3 grammes par jour. En effet, trop de fibres peut provoquer des gaz et déclencher les symptômes du SCI.

Éviter le gluten. Éviter le gluten peut soulager les symptômes du SCI. En effet, certaines personnes atteintes du SCI ont plus de symptômes après avoir mangé du gluten, même si elles n’ont pas la maladie coeliaque. Ainsi, vous pouvez éliminer les produits qui contiennent du gluten et surveiller l’évolution de vos symptômes.

Éviter les aliments riches en gaz. Des produits tels que les boissons gazeuses et alcoolisées, ainsi que certains aliments, peuvent entraîner une augmentation des gaz.

Suivre le régime FODMAP. Certaines personnes sont sensibles à certains glucides tels que le fructose, le lactose et autres, connus sous le nom de FODMAP. Ils se trouvent dans certaines céréales, légumes, fruits et produits laitiers.

En outre, votre médecin pourrait vous suggérer des médicaments et un traitement en fonction de vos symptômes.