Symptômes d’un AVC : comment les reconnaître et comment réagir

En France, on dénombre près de 140 000 cas d’AVC par an, soit 1 toutes les 4 minutes. Après l’Alzheimer, c’est la deuxième cause de démence et la deuxième cause de mortalité. En outre, 75% des survivants gardent des séquelles invalidantes, telles que la paralysie et l’handicap. Pour les limiter, une prise en charge immédiate est nécessaire. Comment donc reconnaître les symptômes d’un AVC ? Et comment réagir face à un AVC ?

AVC : définition

L’AVC survient lorsqu’il y a obstruction ou rupture d’un vaisseau sanguin transportant le sang dans le cerveau. Il existe deux types d’AVC :

  • L’accident vasculaire cérébral ischémique : Également appelé infarctus cérébral. Celui-ci est provoqué par l’obstruction total d’une artère cérébrale par un caillot.
  • L’accident vasculaire hémorragique : Celui-ci a lieu lorsqu’un vaisseau sanguin dans le cerveau se rompt.

De nombreux accidents vasculaires cérébraux sont causés par des maladies vasculaires ou cardiaques, telles que l’hypertension artérielle et les maladies cardiaques. Si l’âge moyen de survenue d’un AVC est de 74 ans, celui-ci peut survenir à tout âge. En effet, 25% des patients ont moins de 65 ans et 10% moins de 45 ans. En effet, le nombre d’AVC affectant les 30-45 ans a augmenté de manière significative ces dernières années.

On estime qu’une personne victime d’un accident vasculaire cérébral perd 2 millions de cellules cérébrales par minute, ce qui en fait une condition où chaque seconde compte. En effet, plus les soins sont rapides, meilleures sont les chances du patient d’obtenir des résultats positifs. Reconnaître les symptômes d’un AVC et réagir rapidement face à ce dernier permet d’augmenter les chances de survie et de limiter les séquelles.

Les symptômes d’un AVC : reconnaître les signes avant coureurs

Ressentir ou observer un ou plusieurs de ces symptômes doit alerter sur la possibilité d’un AVC :

  • Faiblesse ou paralysie du bras : La personne sujette à un AVC peut avoir des difficultés à lever un bras ou un jambe.
  • Engourdissement du visage : Vous pouvez demander la personne de sourire. Celui-ci peut sembler irrégulier ou déséquilibré.
  • Difficultés d’élocution et troubles de la parole : La personne peut avoir des difficultés à parler, articuler, à lire et à comprendre.

Il existe d’autres symptômes d’un AVC qui peuvent apparaître très soudainement. Ils incluent les troubles de la vision, la perte d’équilibre, la difficulté de coordination et les vertiges. La personne sujette à un AVC peut également avoir des maux de tête violents sans causes apparentes. Ceci pourrait être lié à une hémorragie interne.

Bien que certains symptômes d’un AVC soient les mêmes chez les femmes et les hommes, certains sont plus fréquents chez les femmes et d’autres chez les hommes.

Les symptômes courants chez les femmes

Les signes avant coureurs qui surviennent plus souvent chez les femmes comprennent les nausées, les vomissements et les hallucinations. Elles peuvent également être essoufflées et avoir des difficultés à respirer. En outre, la confusion et le manque de réactivité sont des signes avant coureurs plus fréquents chez les femmes. Il est important d’identifier les symptômes d’un AVC rapidement, celui-ci étant la première cause de mortalité chez les femmes.

Les symptômes d’un AVC chez les hommes

L’AVC est la deuxième cause de décès chez les hommes. Les signes avant coureurs les plus fréquents chez les hommes incluent l’engourdissement d’un côté du visage et un sourire irrégulier. La faiblesse musculaire, notamment d’un côté du corps est également commune. Les hommes peuvent aussi présenter des troubles de la parole et de la compréhension.

Comment réagir face à un AVC ?

Si vous êtes en compagnie d’un personne qui présente un ou plusieurs symptômes d’un AVC, il est important d’appeler rapidement le SAMU au 15 ou le numéro d’urgence européen au 112. En attendant les secours, vous pouvez rester au téléphone avec l’opérateur et suivre ses instructions. Si la personne est consciente, essayez de la mettre sur le côté, en position latérale de sécurité. Toutefois, si elle est inconsciente, vérifiez son pouls et sa respiration. S’il le faut, vous pouvez commencer la réanimation cardiorespiratoire (RCR). Si vous ne savez pas comment faire, l’opérateur peut vous guider. Un autre bon réflexe est d’enlever tout vêtement qui pourrait gêner la respiration, comme les écharpes, cravates et les cols de chemise. Vous pouvez également laisser la porte déverrouillée afin qu’il n’y ait aucun retard.

L’objectif est de transférer le plus rapidement le patient vers un établissement hospitalier. Cette prise en charge permet de confirmer l’AVC et de réaliser une thrombolyse si c’est le cas.

Il existe certains comportements à éviter. Ainsi, ne conduisez pas vous-même la personne à l’hôpital. A l’arrivée de l’ambulance, les soignants commenceront immédiatement le traitement. En outre, ne donnez rien à manger ou à boire, y compris des médicaments, à la personne.

La finance solidaire : comprendre ce système et y contribuer

La finance solidaire est un système financier qui fait partie de l’économie sociale et solidaire. C’est une alternative éthique à la finance traditionnelle. Quels sont donc ses principes ? Que veut-on dire par épargne solidaire ? Et comment est-il possible de contribuer à ce système financier ?

La finance solidaire : définition

La finance solidaire peut être définie comme un système financier conçu pour contribuer au financement de projets d’utilité sociale et environnementale. Cela peut être des projets liés à la réinsertion par l’emploi, le développement durable ou l’économie verte. Cette contribution se faire par le biais de structures et d’outils spécialisés, à l’instar de l’épargne solidaire. Contrairement à la finance traditionnelle, accusée de privilégier la recherche du profit aux détriments des aspects humains et écologiques, la finance solidaire cherche à allier le financement de l’économie et le développement social.

Plus largement, la finance solidaire fait partie de l’économie sociale et solidaire. Cette dernière regroupe un ensemble d’institutions et de structures qui placent les enjeux sociaux avant la rentabilité. Ces institutions peuvent être des coopératives, des mutuelles, des associations, des fondations et des syndicats. En outre, la finance solidaire permet de financer les sociétés non cotées qui relèvent de l’économie sociale et solidaire. Cela permet également aux particuliers de donner sens à leur argent et de développer une économie plus éthique.

Les piliers de la finance solidaire

La finance solidaire se caractérise par sa vision, sa mission, son identité et ses compétences. Ainsi, la vision à long terme de la finance solidaire est d’augmenter le capital social. Sa mission est de tirer parti de l’outil financier pour un développement équitable et durable. Ses acteurs sont multiples. Même si chacun a des méthodes et des comportements différents, ils contribuent, ensemble, à l’émergence d’une identité spécifique de la finance solidaire.

Le service de la finance solidaire consiste à financer des activités et des personnes, dans un cadre d’intérêt général. Elle tente également de trouver des solutions à trois crises majeures de la société. La première est la crise entre un humain et lui-même, la crise entre les personnes ainsi que la crise entre les personnes et leur environnement.

L’épargne solidaire

Le premier objectif de l’épargne solidaire est de soutenir l’économie sociale et solidaire et de financer des structures à caractère solidaire et éthique. Nous pouvons dire que l’épargne solidaire est un compromis entre une épargne et un don. En effet, en épargnant avec la finance solidaire, vous renoncez à une partie de votre gain. Celui-ci sera reversé à une entreprise solidaire, que ce soit une ONG, une coopérative ou une fondation. Ainsi, vous participez au financement d’activités économiques aux enjeux éthiques et sociétaux.

Comment contribuer à la finance solidaire ?

L’épargne solidaire est aujourd’hui accessible à tous. Vous pouvez ainsi en faire la demande auprès de votre banque ou de votre assurance. Plusieurs produits peuvent être solidaires à l’instar des unités de compte d’un contrat d’assurance-vie ou un livret A ou LDDS. Vous pouvez vous fier aux produits labellisés Finansol, attribuée par l’association du même nom. Ces produits sont sélectionnés selon des critères de solidarité et de transparence, par un comité d’experts indépendants.

Les avantages de l’épargne solidaire

En devenant épargnant solidaire, vous bénéficiez de plusieurs avantages fiscaux. Voici les plus importants :

  • L’avantage Madelin : L’épargne solidaire donne droit à une réduction d’impôts de 25% de l’investissement réalisé. La limite annuelle est de 20 000 € pour un célibataire et de 40 000 € pour un couple sous réserve de conserver les titres au moins 5 ans.
  • La loi Tepa : En souscrivant au capital d’une PME non cotée, vous avez droit à une déduction de 75% sur l’ISF (Impôt de Solidarité sur la Fortune). La limite annuelle est de 50 000 € sous réserve que les titres contractés soient bloqués au moins 5 ans.
  • Fiscalité du don : Les épargnants solidaires bénéficient de 66% de réduction d’impôts pour les dons générés par les placements solidaires. Concernant les dons aux associations offrant des aides alimentaires, des soins et des hébergements font l’objet d’une déduction de 75 %.

Prévenir le suicide : quels sont les signes d’alerte et comment prévenir la crise ?

Prévenir le suicide commence par reconnaître les signes avant-coureurs et les prendre au sérieux. Si vous pensez qu’un ami ou un membre de votre famille est dépressif et envisage de se suicider, vous pouvez faire beaucoup pour l’aider.

Comprendre le suicide

L’Organisation Mondiale de la Santé estime qu’environ 1 million de personnes meurent chaque année du suicide. Il peut être parfois difficile de comprendre ce qui pousse tant d’individus à se suicider. Cependant une personne suicidaire souffre tellement qu’elle ne voit aucune autre option. C’est, en effet, une tentative désespérée d’échapper à une souffrance devenue insupportable. Mais malgré ce désir, la plupart des personnes suicidaires sont profondément en conflit pour mettre fin à leurs propres vies.

Prévention du suicide : quels sont les signes d’alerte ?

Prenez au sérieux tout discours ou comportement suicidaire. Ce n’est pas seulement un signe d’avertissement que la personne pense au suicide, c’est un appel à l’aide. La meilleure façon de prévenir le suicide est de reconnaître ces signes avant-coureurs et de savoir comment réagir si vous les repérez.

Les principaux signes avant-coureurs du suicide comprennent le fait de parler de se suicider ou de se faire du mal ou de la mort en général. La personne peut également rechercher des moyens pour se suicider, comme des armes à feu, des pilules, des couteaux, des drogues et d’autres objets mortels. Une personne dépressive ou suicidaire va également ressentir un sentiment d’impuissance, de désespoir ou d’être pris au piège. En outre, elle peut se sentir comme un fardeau et avoir des sentiments d’inutilité, de culpabilité, de honte et de haine de soi. Un comportement autodestructeur est également un signe avant-coureur de suicide. Cela peut être l’augmentation de la consommation d’alcool ou de drogues, une conduite imprudente ou des rapports sexuels non protégés.

Ces signaux sont encore plus dangereux si la personne a un trouble de l’humeur comme la dépression ou le trouble bipolaire, souffre de dépendance à l’alcool ou a déjà tenté de se suicider. Vous aurez plus de chance de prévenir le suicide chez un proche et de l’aider à aller mieux en repérant les signes d’alerte.

Comment prévenir le suicide ?

Prévenir le suicide : parlez-en si vous êtes inquiet

Si vous repérez les signes avant-coureurs du suicide chez un proche, le mieux est d’en parler directement. Ainsi, il aura la possibilité de s’exprimer ouvertement, ce qui peut grandement soulager sa solitude et ses sentiments négatifs refoulés et peut aller jusqu’à prévenir le suicide.

En parlant à une personne suicidaire, il est important d’être soi même. Faites savoir à la personne que vous vous souciez d’elle et qu’elle n’est pas seule. Ecoutez sans jugements votre proche s’exprimer et évacuer ses sentiments. Peu importe à quel point la conversation semble négative, le fait qu’elle ait lieu est un signe positif. Vous pouvez également rassurer votre proche en lui proposant de l’aide. Cependant, en discutant avec une personne suicidaire, il est important de ne pas agir de manière choquée et faire des sermons sur la valeur de la vie. En outre, vous ne pouvez pas réparer la dépression d’une autre personne, et le changement doit venir d’elle-même. Évitez donc de vous blâmer.

Réagissez rapidement en cas de crise

Si un ami ou un membre de la famille vous dit qu’il pense à la mort ou au suicide, il est important d’évaluer le danger immédiat dans lequel se trouve la personne. Les personnes les plus à risque de se suicider dans un proche avenir ont un plan, un moyen ou plusieurs de l’exécuter, une date et une intention. Les questions suivantes peuvent vous aider à évaluer le risque immédiat de suicide :

  • As-tu un plan de suicide ?
  • As-tu ce dont tu as besoin pour le réaliser (pilules, pistolet, etc.) ?
  • Sais-tu quand tu le feras ?
  • As-tu l’intention de te suicider?

Si une tentative de suicide semble imminente, appelez les services d’urgence, le Samu 15 ou le 112, ou SOS Médecin. Vous pouvez également retirer les drogues, les couteaux et les autres objets potentiellement mortels. Toutefois, le plus important n’est de laisser en aucun cas une personne suicidaire seule.

Prévenir le suicide : offrez de l’aide et du soutien

Si un ami ou un membre de la famille est suicidaire, la meilleure façon de l’aider est d’offrir une oreille empathique et attentive. Faites savoir à votre proche qu’il n’est pas seul et que vous vous souciez de lui.

En outre, vous pouvez :

  • Obtenir de l’aide professionnelle. Appelez par exemple le 15 ou le 112 pour obtenir des conseils et des références. Vous pouvez également encourager la personne à consulter en l’aidant à trouver un établissement ou un psychologue. Vous pouvez éventuellement, et si elle accepte, l’accompagner à son rendez-vous. En outre, vous pouvez suivre le traitement et vous assurez que votre proche les prend comme indiqué.
  • Etre proactif. Ceux qui envisagent de se suicider ne croient souvent pas qu’ils peuvent être aidés. Ainsi, il est important d’être proactif pour prévenir le suicide. N’attendez pas que la personne vous appelle ou qu’elle réponde à vos messages. Passez lui rendre visite, renouvelez vos appels ou invitez la à sortir.
  • Encourager les changements de style de vie positifs, comme une alimentation saine, beaucoup de sommeil et sortir au soleil ou dans la nature pendant au moins 30 minutes chaque jour. L’exercice est également extrêmement important car il libère des endorphines, soulage le stress et favorise le bien-être émotionnel.
  • Faire un plan de sécurité. Vous pouvez aider votre proche à identifier tout élément déclencheur pouvant conduire à une crise suicidaire, comme l’alcool ou le stress lié aux relations. Incluez également les numéros de téléphone du médecin ou du thérapeute, ainsi que des amis et des membres de la famille qui vous aideront en cas d’urgence.
  • Continuez votre soutien sur le long terme. Même après la crise suicidaire immédiate, restez en contact avec la personne. Votre soutien est essentiel pour que votre ami ou votre proche reste sur la voie du rétablissement.

Complémentaire santé pour séniors : les avantages

Une complémentaire santé pour séniors est une nécessité, en particulier lorsque vous (ou vos parents) planifiez votre retraite et que vous ne disposez pas d’une autre source de revenu que votre pension ou votre épargne. Nous savons bien qu’une urgence médicale peut rapidement conduire à une crise financière. Pour éviter une situation similaire, il est important de souscrire à une complémentaire santé pour séniors. 

Pourquoi souscrire à une complémentaire santé pour séniors ? 

Vieillir est généralement synonyme d’augmentation des besoins en santé ainsi que des dépenses. Comme l’Assurance Maladie se base sur le tarif de convention pour vous rembourser, une complémentaire santé pour séniors vous aidera à rembourser tout ou une partie des dépassement d’honoraires. En outre, une bonne complémentaire peut également prendre en charge des dépenses non remboursées par la Sécurité Sociale. Souscrire à une complémentaire santé vous permettra de faire face efficacement à vos besoins en santé.

Les besoins particuliers des seniors 

A partir de la cinquantaine, nombreuses pathologies commencent à surgir progressivement. En plus de l’importance du changement de mode de vie, il est nécessaire de faire le point sur ces propres besoins médicaux. Ainsi, vous pourrez choisir une complémentaire santé personnalisée. Vous pouvez, par exemple, être attentif à la prise en charge des cures thermales, des soins optiques et dentaires, des appareils auditifs, des maladies chroniques, de l’hospitalisation, des services d’assistance en cas de dépendance et de la médecine douce. 

En plus des consultations médicales, en particulier chez les spécialistes, qui augmentent, il existe des besoins particuliers des seniors. Par exemple, à partir de 45 ans, il y a plus de risque d’avoir une presbytie et l’acuité visuelle baisse également. En parallèle, l’audition est également sujette à des dégradations et peut parfois nécessiter le port d’un appareil auditif. En outre, les soins dentaires se multiplient. Il est possible d’avoir besoin d’appareils dentaires ou d’implants. Pour pallier aux rhumatismes et maux de dos, les seniors optent souvent pour des cures thermales et privilégient les médecines douces comme l’ostéopathie ou l’acupuncture. Il est également important de ne pas négliger les dépenses pour votre confort personnel lors d’une hospitalisation (non prises en charge par la Sécurité Sociale). 

Qu’est-ce que la complémentaire santé pour séniors ?

Grâce à notre complémentaire santé pour séniors, vous pourrez bénéficier de garanties adaptées à vos besoins. Vous avez aussi le choix entre 3 options : Sécurité, Tranquillité et Sérénité selon votre situation. Ainsi, vous pourrez anticiper les complications médicales susceptibles de survenir. Par exemple, les soins et prothèses dentaires peuvent être remboursés jusqu’à 170% avec l’option Sérénité. Vous pouvez ainsi couvrir du mieux possible des prestations nécessaires selon vos besoins médicaux. 

Quels en sont les avantages ? 

En plus de proposer une complémentaire parfaitement adaptée aux besoins des personnes âgées de 50 ans et plus, nous offrons plusieurs avantages. 

Ainsi, des conseillers spécialisés vous écoutent pour vous proposer des solutions personnalisées. En outre, nous offrons plus de facilités : les conditions de souscription sont simplifiées et les dossiers sont traités en moins de 48 heures. Vous pouvez aussi consulter vos remboursements directement sur internet. Nous vous proposons également plus de services, comme la prise en charge des visites de prévention non remboursées et une assistance à domicile en cas de perte d’autonomie. Mais ce n’est pas tout, nous proposons aussi un pack médecine douce. Celui-ci comprend le remboursement des consultations chez les diététiciens, les ostéopathes, les étiopathes, les naturopathes et les acupunctures. Nous prenons également en charge les cures thermales. 

La complémentaire santé pour séniors de la PMIF est accessible dès 50 ans et convient également aux personnes qui partent à la retraite. Elle vous simplifie la vie et vous permet de rester serein par rapport à votre santé et vos besoins médicaux. 

Pollution sonore : comment la réduire ?

Du bruit de la circulation aux concerts de rock, les sons forts ou inévitables peuvent entraîner une perte auditive, du stress et une hypertension artérielle. Les nuisances sonores peuvent également entraîner des problèmes de santé pour les personnes et la faune terrestre et maritime. Nous faisons le point sur les effets de la pollution sonore et des solutions pour la réduire. 

Qu’est-ce que la pollution sonore ?

La pollution sonore est tout ce qui nous empêche d’entendre ce que nous devrions ou voudrions entendre autour de nous. En temps normal, nous entendons les sons externes à des niveaux sûrs qui n’affectent pas l’audition. Cependant, une exposition à un bruit excessif peut affecter la santé et endommager l’audition. 

Pourquoi les nuisances sonores sont-elles préoccupantes ? 

Une pollution sonore excessive peut avoir des effets néfastes sur les humains, les animaux, les arbres, les plantes et la vie maritime, qui y sont constamment exposés. Le bruit fort perturbe aussi les conversations, les communications ainsi que le sommeil. Les nuisances sonores peuvent également endommager les structures de l’oreille interne et entraîner une perte auditive. En outre, plusieurs problèmes de santé sont liés aux nuisances sonores, tels que le stress, l’anxiété, la dépression, l’hypertension artérielle et les maladies cardiaques.

La perte auditive peut résulter de l’écoute d’un seul son fort près de votre oreille, mais pas que. L’exposition à des nuisances sonores à plusieurs reprises au fil de temps peut également contribuer à une perte auditive. Certaines sources de pollution sonore auxquelles vous pourriez être exposé comprennent le trafic, les sirènes d’urgence, les feux d’artifice, les tondeuses à gazon à essence, les tracteurs, les sèches-cheveux ou encore les lecteurs de musique et les machines à laver.

Prévenir et diminuer les effets la pollution sonore

Vous pouvez adopter quelques bons réflexes pour prévenir et réduire les effets néfastes de la pollution sonore. 

Réduire le son dans votre espace 

Afin d’éviter les effets néfastes de la pollution sonore, il est essentiel de réduire le son dans vos espaces de vie et de travail. Vous pouvez commencer par réduire le bruit de vos téléphones ou des appareils que vous utilisez. Si vous travaillez dans un bureau, assurez-vous de pouvoir minimiser le bruit autour de vous. Ainsi, vous pourrez garantir atmosphère calme pour travailler efficacement. Si vous travaillez dans des emplois qui vous exposent quotidiennement à des bruits forts, comme la construction, il est essentiel de porter des bouchons d’oreille ou un casque

Éteindre les appareils électroniques 

Cela peut inclure votre smartphone ou d’autres appareils électroniques comme votre ordinateur ou votre téléviseur. Au lieu de cela, vous pouvez jouer à des jeux de société avec votre famille. Vous pouvez également créer un espace silencieux chez vous (qui peut être une petite pièce), afin de vous isoler des bruits autour de vous. 

Installer des fenêtres à double vitrage 

Une autre mesure évidente contre la pollution sonore consiste à installer des fenêtres à double vitrage pour réduire les bruits externes. Ceci est particulièrement efficace pour les personnes vivant à proximité de grands axes routiers ou d’autoroutes. 

Construire une clôture ou planter des arbres

Si vous êtes propriétaire d’une maison et habitez dans une zone bruyante, vous pouvez construire une clôture. Comme les clôtures sont des écrans antibruit, leur installation permet de créer un espace de vie plus silencieux et d’atténuer la pollution sonore. Vous pouvez également planter des arbres, qui sont des barrières acoustiques naturelles. 

Utiliser des boules quies contre la pollution sonore

Si vous êtes exposé à des bruits forts lors de concerts ou d’événements bruyants, pensez à mettre des boules quies. Vous pouvez également utilisé des caches oreilles ou investir dans un casque antibruit. En outre, l’utilisation des bouchons d’oreille favorise un sommeil de bonne qualité. 

Remplacer votre voiture

Les anciennes voitures sont une source importante de pollution sonore. En remplaçant votre ancienne voiture par un nouveau véhicule ou par une voiture électrique (moins bruyante), vous contribuez à réduire les nuisances sonores mais également les émissions de CO2 et d’autres substances toxiques.