L’alimentation durable

L’alimentation durable est un concept apparu récemment dans le but d’encourager un cycle de consommation plus sain. Il s’agit de revoir toute la chaîne d’approvisionnement alimentaire afin de protéger l’environnement, la santé des consommateurs mais aussi d’assurer la survie des agriculteurs locaux qui souffrent d’une grande concurrence.

Préserver la santé des consommateurs

Favoriser une alimentation équilibrée

L’alimentation des populations occidentales est de plus mise en cause dans le développement de certaines pathologies chroniques. L’achat massif de nourriture en grande surface a encouragé avec le temps la mondialisation des échanges alimentaires au détriment de la qualité de la production. Les populations se nourrissent d’un grand nombre d’aliments fortement raffinés qui ont un effet nocif avérés sur la santé.

L’alimentation durable a donc pour objectif premier de corriger tous les déficits alimentaires liés à ce mode de consommation afin de réintroduire dans l’assiette de chacun des produits plus sains pour l’organisme. Une alimentation durable passe par un approvisionnement en aliments cultivés proche de chez soi afin de limiter le recours au raffinement.

Lutter contre les organismes génétiquement modifiés

L’alimentation durable consiste aussi en la production et la culture d’aliments selon les rythmes naturels afin d’éliminer l’utilisation massive d’organismes génétiquement modifiés. Ces derniers ont un effet particulièrement délétère pour la santé et s’avèrent être la cause de bien des maux. Consommer de saison et respecter le rythme de la nature encouragent les producteurs à choyer leur production sans chercher à cultiver le plus rapidement possible pour engranger toujours plus de ventes.

Favoriser la croissance des producteurs locaux

Mieux rémunérer les petits producteurs et paysans

L’enjeu de l’alimentation durable se place aussi du côté des producteurs et paysans. En effet, ces derniers, face à l’importation massive d’aliments de mauvaise qualité nutritionnelle mais moins chers, n’arrivent plus à écouler leur production à bon prix. Ils font non seulement face à une concurrence de plus en plus féroce, mais ils voient également leurs prix imposés par les grandes enseignes de distribution. Ces dernières leur proposant des prix d’achat de leurs produits particulièrement bas, ils se retrouvent dans l’obligation de produire toujours plus en un minimum de temps pour rester rentables.

Il s’agit de favoriser les échanges entre les producteurs et les consommateurs d’une même région afin de limiter les intermédiaires et donc augmenter la rémunération des paysans pour un même produit.

Encourager une consommation locale

Encourager une consommation locale est une tâche ardue du fait de la présence des grandes enseignes. Ces dernières prônent des produits à bas coût qui proviennent de pays en croissance. Il est très difficile pour les consommateurs de trouver des points de vente qui mettent en avant des productions locales à moins de devoir se déplacer directement chez l’agriculteur. Autant dire que pour les citadins des grandes villes il est presque impossibles de ne pas avoir recours aux supermarchés. Il est donc nécessaire d’encourager l’émergence d’enseignes plus écolos qui limiteront grandement le nombre d’intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs situés dans un périmètre proche.

Lutter pour la préservation de l’environnement

Lutter contre le gaspillage

Le troisième pilier de l’alimentation durable est la préservation de l’environnement. Cela passe avant tout pour la réduction du gaspillage alimentaire qui est beaucoup plus important qu’on ne le pense. Pour lutter contre ces habitudes, distributeurs et consommateurs ont un rôle à jouer.

Du côté des distributeurs, il s’agit de revoir les dates de péremption des produits. En effet, de nombreux aliments ont une date de péremption qui n’est pas nécessairement correcte ce qui encourage les consommateurs à jeter prématurément leurs aliments. Ces derniers temps, des grandes enseignes ont décidé de revoir leurs dates limites de consommation sur certains de leurs produits afin de limiter la production de déchets alimentaires encore consommables.

Du côté des consommateurs, il s’agit de modifier légèrement ses habitudes de consommation en apprenant à ne pas trop acheter. Pour limiter le gaspillage, il est approprié de faire de plus petites courses plus souvent afin d’être au plus près de ses besoins réels. Bon nombre de familles ont tendance à acheter beaucoup pour aller moins au supermarché mais surestiment par la même occasion leur consommation effective. Une autre méthode de lutte contre le gaspillage est le recours au compost, notamment pour les foyers possédant un jardin. Le compostage permet de recycler les déchets alimentaires de types épluchures afin d’en faire un engrais pour ses plantes.

Favoriser les pratiques de production respectueuses de l’environnement

Enfin, préserver l’environnement via l’alimentation durable c’est inculquer des méthodes saines de production aux agriculteurs afin qu’ils cessent l’utilisation d’antibiotiques et de pesticides sur leurs cultures ou leurs animaux. Ces produits se retrouvent en effet, soit dans l’assiette des consommateurs, soit au niveau des terres ou des nappes phréatiques s’ils sont aspergés sur les cultures. Ces épandages sont extrêmement agressifs pour l’environnement et participent grandement à la pollution environnementale.

Le café est-il bon ou mauvais pour la santé ?

La consommation de café a toujours été un sujet à controverse. Tandis que des études tentent des démontrer ses effets délétères, de plus en plus d’essais scientifiques prouvent que le café possède des vertus intéressantes notamment contre certaines maladies. Voici tout ce qu’il faut savoir sur les effets du café.

Les effets positifs du café sur la santé

Un effet antioxydant très puissant

Le café possède un fort pouvoir antioxydant à condition d’en boire 3 à 4 tasses par jour. Cet effet antioxydant permet au café d’être relativement protecteur face à certains cancers notamment les cancers de l’endomètre, de la prostate et du foie. Les effets du café sur d’autres pathologies cancéreuses sont encore à l’étude mais semblent se confirmer de façon positive.

Le café en prévention des maladies neurodégénératives

Le café contient non seulement des antioxydants mais aussi des molécules de caféine pures. Selon de nombreuses études, ces molécules auraient un effet non négligeable pour lutter contre la dégénérescence neurovégétative. C’est pourquoi une consommation régulière de café est considérée comme un moyen de prévenir les maladies d’Alzheimer et de Parkinson.

Un allié du système cardiovasculaire

Des essais ont établi la preuve que le café diminuerait le risque de développer un diabète de type 2 et de produire du cholestérol. L’hypercholestérolémie tout comme le diabète sont deux maladies qui ont un impact délétère sur le système artériel. En buvant du café et donc en se prémunissant de ces deux pathologies, les risques de développer des maladies cardiovasculaires sont fortement amoindris.

Le café et ses effets néfastes sur l’organisme

Le dérèglement du système hormonal

La caféine est un excitant puissant qui stimule le système nerveux. Lorsque ce dernier est mis en branle, il entraîne avec lui le système hormonal qui tend alors à produire plus de cortisol afin de faire face à une situation de stress chimique. Il a toutefois été démontré qu’une trop forte exposition au cortisol est délétère sur le long terme puisqu’il tend à fatiguer l’organisme.

Une production excessive de cortisol va également avoir un impact sur les autres hormones du corps, notamment chez la femme. En effet, une augmentation du taux de cortisol dans le sang aurait tendance à augmenter la production d’œstrogènes chez la femme. Un excès d’œstrogènes provoque des syndromes prémensturels douloureux et augmente le risque de développer des fibromes utérins ou de l’endométriose. Il s’agit donc avant tout de ne pas trop consommer de café notamment si l’on a un corps sensible aux variations hormonales.

Des conséquences sur le système digestif

Du fait de son pouvoir stimulant, la caféine a tendance à augmenter les contractions musculaires. Les intestins sont les premiers impactés par ce phénomène. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le café était initialement consommé après les repas afin de faciliter la digestion. Toutefois, au-delà de 2 tasses par jour, le café provoque volontiers des diarrhées puisqu’il accélère le travail intestinal. Il peut donc être un bon remède en cas de constipation mais attention aux intestins fragiles.

Nervosité et irritabilité

Le café est un excellent remède contre la fatigue puisqu’il stimule le système nerveux. Toutefois, à haute dose, cette stimulation a tendance à fortement agiter l’organisme. Les buveurs excessifs de café peuvent vite se retrouver irritables ou nerveux. Il faut souligner que la caféine reste plusieurs heures dans le sang. Sa consommation doit donc être interrompue dès 14 heures afin de ne pas provoquer des troubles du sommeil.

Bien souvent, les buveurs de café se retrouvent dans un cercle vicieux : ils consomment du café dans l’après-midi, ont des difficultés à dormir le soir et se retrouvent très fatigués le lendemain ce qui les pousse à de nouveau boire beaucoup de café. Bonne nouvelle, il est possible de très vite sortir de cette spirale en cessant toute consommation de café quelques après-midis.

Alors pour ou contre le café ?

Bien choisir son café avant tout

Toutes les études menées pour prouver tant les effets positifs que négatifs du café ont été faites avec un café de bonne qualité c’est-à-dire un arabica de préférence. Autant dire qu’espérer des effets positifs d’un café en provenance de la machine du travail est quelque peu utopique. Quitte à consommer une certaine dose de café, autant prendre de la qualité même si cela demande un savoir-faire particulier pour la préparation.

Des effets positifs mais pour une consommation excessive

Tous les effets positifs prouvés du café l’ont été à partir d’une certaine consommation quotidienne c’est-à-dire 3 à 4 tasses par jour. Pour les personnes qui ont tendance à développer des troubles d’irritabilité, 3 à 4 tasses par jour représentent une quantité beaucoup trop élevée à atteindre.

Attention à la sensibilité de chacun

Tout le monde ne réagit pas de la même façon à la caféine. Une partie de la population y serait plus sensible et aurait donc tendance à développer des effets négatifs plus rapidement. De même, tous les systèmes hormonaux ne réagissent pas de la même façon à la caféine. Le cortisol sera produit très vite chez certain tandis que pour la même dose de caféine, d’autres ne verront pas le taux sanguin de cortisol bouger.

Il est donc nécessaire de bien connaître les réactions de son corps et de savoir quelle dose de café lui convient. Le café peut avoir des vertus très positives à condition de le tolérer.

Qu’est-ce que la protection hospitalière ?

Une hospitalisation, qu’elle soit prévue ou non, est toujours source de questionnements pour le patient. Les préoccupations financières ne sont certes pas la priorité mais les frais à payer suite à une hospitalisation peuvent représenter un sacré coup dur pour les assurés mal remboursés. La protection hospitalière, véritable complément à la mutuelle, est la solution pour ne pas avoir à penser aux factures pendant sa convalescence et se reposer l’esprit serein.

L’hospitalisation et son remboursement

Que prend en charge la Sécurité sociale ?

Quel que soit le type d’hospitalisation envisagé, la Sécurité sociale est particulièrement prévoyante avec les patients puisqu’elle rembourse à minima 80% des divers frais de séjour, peu importe l’établissement de santé considéré (hôpital, clinique conventionnée ou non). Dans certains cas particuliers, la Sécurité sociale peut même prendre en charge 100% des frais de séjour :

  • Hospitalisation supérieure à 30 jours ;
  • Hospitalisation au cours des 4 derniers mois de grossesse ;
  • Hospitalisation pour une maladie longue durée ;
  • Hospitalisation pour un acte particulièrement coûteux ;
  • Hospitalisation pour les nouveau-nés de moins de 30 jours ;
  • Hospitalisation suite à un acte de terrorisme ;
  • Hospitalisation suite à un accident du travail.

Les titulaires de la CMU ainsi que les bénéficiaires d’une pension d’invalidité, de vieillesse ou d’une pension militaire ou de veuvage sont également éligibles au remboursement de 100% de leurs frais de séjour.

Le reste à charge pour le patient

Un certain nombre de frais dits de confort restent à l’entière charge du patient, que ce dernier bénéficie d’une mutuelle ou non. Ainsi, le ticket modérateur (les 20% restants dans le cas d’un remboursement à 80% par la Sécurité sociale), le forfait hospitalier, les dépassements d’honoraire ou les frais de confort reviennent intégralement au patient, quel que soit son revenu. A noter que contrairement à ce que l’on croît, faire une demande de chambre simple rajoute des frais à l’hospitalisation et est considéré comme un coût de confort par la Sécurité sociale et les mutuelles.

Que prend en charge la mutuelle ?

La prise en charge par la mutuelle va grandement varier selon le contrat négocié préalablement :

  • Le ticket modérateur est généralement pris en charge par les mutuelles ;
  • Le forfait hospitalier est pris partiellement en charge dans la plupart des cas selon un forfait préétabli par la mutuelle ;
  • Les dépassements d’honoraires sont pris en charge dans une certaine limite tout comme pour les consultations de ville. La mutuelle pratique en effet ses remboursements à partir de la base de remboursement de la Sécurité sociale. Si les dépassements d’honoraire sont particulièrement élevés, notamment au sein des cliniques, une infime partie sera remboursée au patient ;
  • Les frais de confort (télévision, téléphone, accompagnement des proches) ne sont pas pris en charge par les mutuelles.

La protection hospitalière

En quoi consiste la protection hospitalière

Il s’agit généralement d’une extension de garantie de sa mutuelle qui permet d’élargir la gamme des remboursements en cas de pépin. Cette assurance a le mérite de ne pas faire doublon avec les remboursements de la mutuelle de l’assuré et lui permet donc d’être mieux couvert pour les mêmes soins pratiqués. En effet, les indemnités de la protection hospitalière ne sont pas calculées sur une base de remboursement ou sur le montant du forfait hospitalier mais correspondent à un montant journalier directement donné au patient. De cette façon ce dernier pourra rembourser son forfait hospitalier tout en couvrant les dépassements d’honoraire pratiqués par ses médecins. La protection hospitalière assure donc un reste à charge quasi nul pour le patient.

Combien coûte une protection hospitalière ?

Les cotisations d’une assurance hospitalisation varient en fonction du forfait journalier souhaité en cas d’hospitalisation. Ainsi, des indemnités journalières allant de 15€ à 100€ sont proposées par les différents organismes mutualistes. Plus l’indemnisation demandée est élevée, plus la cotisation sera chère mais il faut compter entre 3€ et 20€ pour une assurance de ce type.

Les cotisations de l’assurance hospitalisation dépendent également de l’âge et de la composition de la famille. Plus l’assuré est âgé plus il cotisera car le risque d’hospitalisation va croissant avec le temps.

La protection hospitalière : pour qui ?

Tout le monde peut souscrire une assurance hospitalisation bien que les personnes les plus concernées restent les seniors. Ces derniers sont considérés comme étant plus à risque et doivent donc être bien couverts pour ce type de prise en charge.

Toutefois, il n’est pas inintéressant, lorsque l’on est un actif, d’avoir recours à ce type d’assurance. En effet, les contrats de mutuelle protègent moins bien les actifs sur les actes hospitaliers car ils sont censés y être moins sujets. Au contraire, les mutuelles seniors sont particulièrement protectrices sur toute la gamme des soins hospitaliers. La protection hospitalière peut donc être une option particulièrement intéressante pour les actifs afin de leur garantir un réel complément à leur mutuelle en cas de coup dur.

Devenir bénévole

Devenir bénévole c’est donner de son temps et de son énergie pour se mettre au service d’une association ou de personnes dans le besoin. Ce don de soi est devenu de plus en plus rare du fait du rythme effréné du quotidien notamment chez les actifs. Il suffit pourtant parfois de consacrer quelques heures de sa semaine aux autres pour se sentir réellement utile à la société. Alors pourquoi et surtout comment devenir bénévole au sein d’une société de plus en plus fragmentée ?

Pourquoi devenir bénévole ?

La satisfaction de servir une cause commune

De nos jours l’humain est particulièrement mis de côté. Les réseaux sociaux et l’accélération du rythme de travail ont poussé chacun d’entre nous à se replier un peu plus sur ses besoins primaires tout en se préoccupant de moins en moins de ceux des autres. Et pourtant, nul n’ignore la satisfaction d’avoir donné de son temps gratuitement sans rien attendre en retour.

Ce contentement est particulièrement important puisqu’il permet au bénévole de se sentir réellement utile du fait de la gratuité de son acte. Le bénévolat participe donc à se sentir serein mais aussi plus confiant en soi-même du fait de mener une action reconnue comme charitable.

Ce statut de bénévole permet aussi de trouver une place dans la société puisque l’aide aux associations est particulièrement reconnue au sein des diverses sphères sociales.

L’échange et les rencontres au rendez-vous

Le bénévolat amène forcément à être en contact avec un certain nombre de personnes (autres bénévoles, adhérents de l’association, gérants de l’association, partenaires…). Toutes ces interactions obligent le bénévole à faire preuve d’ouverture aux autres et lui permettent également de faire des rencontres qui n’ont aucun lien avec sa famille ou son travail. Cela favorise ainsi l’élargissement de son cercle social à des personnes qu’il n’aurait pas forcément croisées en d’autres circonstances et de l’enrichir des histoires de chacun.

De plus, lorsque l’on est dans une dynamique de don, les interactions sociales n’ont pas le même aspect. Elles sont généralement plus profondes et respectueuses puisqu’elles entrent dans une démarche de bienfaisance. Tous ces échanges seront fortement favorables à des salariés vivants dans un conflit permanent au travail ou à des personnes vivants seules par exemple.

Occuper son temps de façon productive pour les inactifs

Les inactifs ont souvent tendance à se laisser aller malgré tout le temps dont ils disposent. Ils ne sont pas à blâmer car il est parfois bien difficile de mobiliser de l’énergie lorsque l’on n’a aucun objectif concret à sa journée (retraite, chômage, maladie longue durée).

Le bénévolat peut venir à bout de cette inactivité et ramener la personne dans un cercle social moteur qui lui permettra de sortir et de retrouver une forme d’énergie au quotidien.

Comment devenir bénévole ?

Se renseigner sur les différentes associations

Il existe un très grand nombre d’associations en France puisqu’on en dénombre 1 500 000 sur le territoire. Un large choix s’offre donc à tous ceux qui souhaiteraient devenir bénévoles. Il convient alors de faire le tri entre les associations afin de mieux cerner celle que l’on souhaite servir. Plusieurs grands types d’associations sont particulièrement prisés par les bénévoles :

  • Association reconnue d’utilité publique ;
  • Association sportive ;
  • Association en faveur des personnes défavorisées ;
  • Association pour la lutte contre des maladies ;
  • Association pour les enfants.

Cette liste est loin d’être exhaustive et permet de se rendre compte à quel point la variété des associations françaises est très marquée. Cette diversité permet à chacun de pouvoir s’investir au sein d’une association qui le touche ou qui fait écho à une histoire personnelle.

Choisir la façon dont on souhaite s’investir

Dans tous les cas, le bénévolat implique de donner de son temps mais il en existe plusieurs formes :

  • Don de savoir (soutien scolaire pour enfants défavorisés, cours sportifs pour sa ville…) ;
  • Don de main d’œuvre (aide à la construction de bâtiments, petits travaux pour les familles monoparentales…) ;
  • Don de temps (distribution de repas, maraude…).

Il est donc possible de devenir bénévole tout en se servant de ses compétences personnelles et professionnelles. Cela permet notamment de favoriser encore plus ses acquis et de confirmer le bénévole dans ses aptitudes théoriques et pratiques.

Contacter l’association de son choix

Lorsque l’association et le mode de bénévolat ont été arrêtés, il convient de contacter les personnes en charge de la gestion des bénévoles. Les associations possèdent généralement un site Internet ou sont référencées auprès des mairies.

Contrairement à ce que l’on pense, une association n’est pas toujours dans le besoin de bénévoles. Il faut donc être potentiellement préparé à un refus si un trop grand nombre de bénévoles sont déjà disponibles ou si aucune action de bénévolat n’est actuellement mise en place. Nul besoin de se décourager car de très nombreuses associations attendent de l’aide dans leur région et l’on peut être parfois surpris de tout ce que l’on peut partager au sein d’une association à laquelle on n’avait pas forcément pensé.