Les bons gestes pour se protéger du soleil

L’été approche et, avec lui, la perspective de passer de longues heures sur les plages ou les terrasses ensoleillées. Or, si le soleil est vital pour l’organisme humain, qui grâce à l’influence de ses rayons fait le plein de vitamine D, il comporte également des risques notables pour la santé. Bon nombre de pathologies dermatologiques et oculaires plus ou moins graves lui sont dues. C’est pourquoi il est essentiel d’adopter les bons gestes pour profiter du soleil… tout en s’en protégeant.

J’adapte mon emploi du temps

Adapter son emploi du temps à l’intensité des rayons estivaux est une règle fondamentale, facile à appliquer et, pourtant, rarement respectée. Il suffit de voir les plages bondées à l’heure de midi, où le soleil est à son zénith, pour en avoir la preuve… Or, c’est justement entre 11 et 16 heures qu’il convient, l’été, de se tenir à l’ombre. Si vous voyagez à l’étranger, calquez-vous donc sur les habitudes locales. Dans les pays méditerranéens par exemple, vous verrez rarement des autochtones dehors en début d’après-midi. D’ailleurs, bien souvent, là-bas, les magasins ferment entre 13 et 16 heures… Si vous souhaitez malgré tout vous tenir à l’extérieur pendant ce créneau, réfugiez-vous à l’ombre. Attention : ni l’auvent du parasol ni le feuillage des arbres ne suffisent à vous protéger contre les rayons UV. Passez des vêtements en coton, aux mailles de préférence serrées, et gardez votre chapeau. Et si, pour vous, vacances riment nécessairement avec bronzage, choisissez les premières heures de la matinée et les dernières de l’après-midi pour vous exposer. En utilisant, bien entendu, des précautions appropriées, que nous détaillons ci-dessous.

J’applique de la crème solaire…

Même si votre peau est naturellement mate ou bronze facilement, le recours à la crème solaire est indispensable pour vous protéger contre les effets néfastes du soleil. Les dermatologues conseillent généralement d’opter pour un indice de protection d’au moins 30 (50 pour les enfants et pour les adultes ayant la peau pâle et les yeux clairs). Une croyance populaire veut que la crème solaire fasse obstacle au bronzage… elle fait surtout obstacle aux rayons UV ! Par contre, pour vous assurer une protection efficace, vous devez adopter certaines précautions. Pour commencer, ne vous servez jamais d’un tube datant de l’été précédent. En effet, les filtres solaires qu’il contient risquent de s’abîmer d’une année sur l’autre. Il est donc recommander d’investir chaque année dans des produits solaires neufs.

… et j’applique les consignes d’utilisation

Ensuite, même si vous avez choisi une crème résistante à l’eau, renouvelez-en l’application toutes les deux heures. Rappelez-vous que la réverbération des vagues peut décupler l’effet du soleil pour votre peau et que la baignade ne vous protège pas contre les coups de soleil, bien au contraire. Troisièmement, n’attendez pas d’être sur la plage pour étaler votre crème ou en mettre à vos enfants. Faites-le à la maison, au moins un quart d’heure avant de sortir afin de laisser au produit le temps de pénétrer, et sans votre maillot de bain ni vos vêtements afin de n’oublier aucune parcelle du corps. Ne négligez aucun recoin, pas même ceux auxquels on pense rarement, comme les paupières, les oreilles et les pieds. Enfin, que le temps soit clair ou nuageux, ne négligez jamais d’appliquer votre crème solaire. Aucun ciel voilé n’a jamais empêché les rayons UV de filtrer et d’agresser votre peau.

Je mets des vêtements appropriés

Même si elle est indispensable, l’application correcte de la crème solaire ne suffit pas à vous protéger contre le soleil l’été. Encore faut-il également vous habiller de façon appropriée ! Pour vos sorties en ville, privilégiez des vêtements en coton ou en lin le plus couvrants possible. Des épaules nues, par exemple, constitueront une cible idéale pour les « mauvais » rayons du soleil… Plutôt que de renoncer à porter vos débardeurs préférés, coiffez-vous d’un chapeau en toile ou en paille à larges bords. D’une façon générale, il est recommandé d’adopter le couvre-chef en été, surtout pour les plus jeunes d’entre nous : ne laissez pas vos enfants courir tête nue sur la plage ou dans le jardin… Même si l’on a plutôt tendance à privilégier les couleurs claires en été, des vêtements aux coloris foncés assureront une protection plus efficace contre le soleil. En effet, le coton blanc, surtout s’il est mouillé (ce qui est fréquent sur une plage ou simplement à cause de la transpiration) ne constitue pas une barrière suffisante.

Je n’oublie pas mes yeux

Enfin, pensez à protéger vos yeux au même titre que votre peau. Dans ce sens, les lunettes de soleil ne sont pas seulement un outil de confort ou un accessoire de mode, mais aussi une manière de protéger vos prunelles contre les rayons UV. Lorsque vous choisissez votre paire, prêtez attention à la classe de protection indiquée sur l’étiquette. Les catégories 3 et 4 sont particulièrement recommandées pour pouvoir faire face sans danger au soleil estival. Pour les enfants, évitez les lunettes fantaisie, généralement dépourvues de filtre et donc n’offrant aucun type de protection.

Comment préparer le départ à la retraite ?

Que vous l’attendiez avec impatience ou au contraire le redoutiez, votre départ à la retraite constitue une étape cruciale et parfois délicate de votre existence. Modification de votre emploi du temps, mais aussi de vos revenus et de vos droits, il s’accompagne, en outre, de différentes démarches administratives qu’il convient de bien connaître. Découvrez nos conseils pour préparer – et réussir – votre départ à la retraite.

1. Informez-vous

N’attendez pas la date prévue pour votre retrait officiel de la vie active pour vous informer sur ce qui vous attend. Tout d’abord, calculez vos points retraite. Si vous avez plus de 55 ans, vous avez probablement reçu votre EIG, c’est-à-dire votre Estimation Indicative Globale indiquant le nombre de trimestres de cotisation que vous avez cumulés. Prenez le temps de vérifier si le résultat est exact et si toutes les phases de votre vie professionnelle – comme, par exemple, des postes que vous avez occupés à l’étranger – ont bien été prises en compte. Si ce n’est pas le cas, faites une demande de rectification de votre relevé de carrière. Profitez-en également pour déclarer vos trimestres de majoration si vous êtes une femme et que vos enfants sont nés avant 2010. Mis à jour, ces différents points vous permettront non seulement de calculer la date effective de votre départ à la retraite mais aussi de vous faire une idée précise des indemnités auxquelles vous aurez droit.

2. Faites des rachats

À ce sujet, s’il s’avère que votre parcours professionnel comporte des blancs – années sabbatiques ou passées à l’étranger sans exercer d’emploi, bénévolat effectué auprès d’un membre de votre famille… – vous pouvez racheter ces trimestres non couverts. Vous profiterez ainsi d’une retraite à taux plein tout en vous donnant la possibilité d’avancer la date de votre départ. Le montant des rachats dépend à la fois de votre âge, de votre revenu brut annuel et des options choisies. En effet, vous pouvez choisir de ne racheter que le taux de la retraite de base ou de l’associer au rachat de la durée d’assurance. Dans ce dernier cas, vous augmentez aussi bien le taux de calcul de votre future pension que le nombre de trimestres pris en compte. Si vous êtes un fonctionnaire, attention : la seule possibilité qui s’offre à vous dans ce domaine est de racheter les trimestres correspondant à vos études supérieures.

3. Entraînez-vous

Vous vous inquiétez à la perspective de voir vos revenus baisser ? Vous peinez à faire des calculs précis et des bilans fiables ? Un stage de préparation à la retraite vous permettra de bénéficier de conseils de professionnels pour l’analyse et la gestion de vos finances. Renseignez-vous auprès de votre caisse de prévoyance. D’une durée moyenne de deux jours, ces séquences vous fourniront également des outils pour compléter vos revenus après la fin de votre vie active. En effet, jusqu’à un certain plafond, vous pourrez cumuler le versement de votre pension avec la poursuite ou la reprise d’une activité professionnelle : si tel est votre souhait, il convient que vous preniez vos dispositions dès les derniers mois précédant votre départ à la retraite (demander le statut d’auto-entrepreneur, informer vos caisses d’assurances d’une nouvelle source de revenus, etc.)

4. Pensez à votre santé

Lors de votre départ à la retraite, vous devrez passer d’une mutuelle complémentaire classique à une mutuelle mieux adaptée à votre âge et à vos nouvelles conditions de vie. Renseignez-vous d’ores et déjà sur les différentes formules disponibles afin de trouver celle qui vous assurera, le moment venu, la meilleure protection. Les éléments à prendre en compte dépendent aussi bien de votre état de santé actuel qu’aux problématiques futures. Par exemple, dans les prochaines années, vous aurez peut-être à faire face à une hospitalisation. Il peut donc être stratégique de prévoir d’ores et déjà une prise en charge complète des frais. Si vous portez des lunettes, ou que vous avez des problèmes dentaires récurrents, tenez-en compte pour le choix de votre mutuelle sénior.

5. Déposez votre demande

Quatre mois avant la date prévue pour votre départ à la retraite (ou à partir de six mois si vous appartenez au secteur public), vous devez déposer votre demande en ligne afin que celle-ci soit traitée dans les délais requis. Après avoir bien vérifié l’exactitude de votre Relevé Individuel de Situation, téléchargez le formulaire sur le site de votre caisse de prévoyance. Si vous êtes fonctionnaire, votre employeur vous le remettra probablement en mains propres. Parmi les justificatifs demandés, vous devrez fournir une copie de votre carte d’identité, de votre dernier avis d’imposition, de votre relevé d’identité bancaire, des bulletins de salaire des 12 derniers mois ainsi qu’une attestation de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie. Si vous avez racheté des trimestres, joignez-en l’attestation. Enfin, sauf si vous exercez une profession libérale, votre retraite complémentaire devra faire l’objet d’une demande à part.

Assurance santé et vaccins : comment sont-ils pris en charge ?

Enfant mais aussi adulte, le vaccin est le meilleur moyen de se protéger contre des maladies infectieuses potentiellement mortelles mais aussi d’éviter le risque d’épidémies. En effet, la plupart de ces maladies étant contagieuses, se faire vacciner ou vacciner ses enfants est aussi un devoir envers son entourage. Parmi les vaccins préconisés chaque année par le Ministère de la Santé, certains sont obligatoires, d’autres s’adressent uniquement aux personnes concernées par le risque. Comment sont-ils pris en charge par l’assurance santé ?

Les vaccins remboursés à 100%

Deux vaccins sont pris en charge à 100% par la sécurité sociale : il s’agit du ROR (rougeole, oreillons et rubéole) et du vaccin contre la grippe, mais à certaines conditions seulement. En effet, pour bénéficier d’une prise en charge totale du ROR, vous devez avoir entre 1 et 17 ans. Et votre vaccination contre la grippe saisonnière ne vous sera remboursée dans son intégrité que si la fragilité de votre état physique le justifie, c’est-à-dire si vous êtes âgé de 65 ans ou plus, êtes affecté d’une maladie chronique, subissez un traitement immunosuppresseur, êtes atteint du VIH, souffrez d’obésité grave… autant de caractéristiques qui vous exposent particulièrement à de sévères complications en cas de grippe. De même, si vous êtes atteint d’une affection de longue durée, la prise en charge de l’injection sera de 100%. Vous êtes une femme enceinte ou vous avez un projet de grossesse ? L’administration du ROR, qui comporte des risques graves pour le fœtus, est fortement déconseillée dans votre cas.

Les vaccins remboursés à 65%

Les autres vaccins reportés sur la liste ministérielle sont couverts à 65% par la caisse d’Assurance maladie, la mutuelle complémentaire prenant en charge les 35% restants sur la base du ticket modérateur. Parmi eux, les vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite et désormais contre l’hépatite B, la coqueluche, les infections invasives à Haemophilus influenzae, à pneumocoque et à méningocoque, sont obligatoires pour les enfants nés à partir de janvier 2018. Les bébés à partir de 1 an résidant en Guyane ont également la stricte obligation de se vacciner contre la fièvre jaune. Le vaccin contre la varicelle et celui contre la tuberculose, qui figurent sur la liste, sont recommandés. Jusqu’à l’âge de 6 ans, les enfants peuvent bénéficier d’une vaccination entièrement gratuite dans le cadre d’une PMI.

Les cas particuliers

Quant aux vaccins contre l’hépatite A ou l’HPV (infection à papillomavirus), bien que figurant sur la liste du Ministère, ils ne sont pris en charge par la sécurité sociale à la hauteur de 65% que pour les personnes à risque. A savoir, pour le premier, des adultes souffrant de mucoviscidose ou d’une pathologie hépatique. Pour le deuxième, les jeunes filles entre 11 et 19 ans, les adolescents transplantés ou enfants candidats à une greffe, les jeunes des deux sexes vivant avec le VIH et les hommes jusqu’à 26 ans ayant eu des relations sexuelles avec d’autres hommes.

Les vaccins non remboursés

Il s’agit généralement des vaccins concernant des maladies infectieuses potentiellement répandues dans certains pays étrangers, comme le paludisme, la typhoïde, le choléra… Dans l’optique d’un voyage en Afrique, en Amérique intertropicale ou en Asie, renseignez-vous auprès du consulat au moins 3 mois avant votre départ. De nombreux pays exigent une vaccination contre la fièvre jaune. Si vous partez en pèlerinage à La Mecque, vous devrez vous faire vacciner contre l’infection à méningocoque, contre l’encéphalite japonaise pour aller aux Philippines, etc. Un séjour en Inde requiert un vaccin contre la fièvre typhoïde, également en ce qui concerne vos enfants à partir de 2 ans. Aucun de ces vaccins n’est pris en charge par la Sécurité Sociale. Si vous êtes souvent amené à voyager, vous avez donc tout intérêt à souscrire une mutuelle santé prévoyant un forfait vaccination, qui couvrira une partie des frais.

Le remboursement de l’injection

Les frais liés à l’injection du vaccin sont également à prendre en compte pour évaluer le coût total de la vaccination. En effet, cette dernière se déroule en trois temps : tout d’abord, vous vous rendez chez votre médecin traitant, qui vous fournit l’ordonnance avec laquelle vous vous présenterez à la pharmacie. Cette première consultation est remboursée par la Sécurité Sociale dans la mesure habituelle de 70% du tarif conventionné. Le vaccin une fois en votre possession, vous pouvez vous le faire injecter par votre médecin dans le cadre d’une nouvelle consultation, qui vous sera également remboursée à 70%. Si c’est une infirmière qui vient vous vacciner à domicile, le coût de l’injection ne sera pris en charge qu’à 60% et à condition que vous disposiez d’une prescription médicale. Selon la formule de votre mutuelle complémentaire, cette dernière peut couvrir une partie des frais restants.

Bonnes pratiques sur internet pour ne pas se faire piéger

Même s’il est indéniable qu’internet nous facilite la vie – quel confort de pouvoir faire ses achats en ligne quand on n’a pas le temps ou la possibilité de se rendre en ville – il est vrai aussi qu’on n’y est jamais à l’abri d’une arnaque. Du simple virus informatique au vol d’identité ou des coordonnées bancaires, évitez de vous faire piéger en recourant automatiquement à ces 4 bonnes pratiques.

1. Apprenez à distinguer les faux mails des vrais

Pour certaines personnes mal intentionnées, les faux mails sont un moyen classique de vous dérober vos données confidentielles ou de vous inciter à faire des donations à l’intention de destinataires fictifs. Pour vous en défendre, ouvrez l’œil. Tout d’abord, ne considérez pas votre système anti-spam comme infaillible. Le propre de certains mails frauduleux est justement d’adopter l’apparence des vrais et donc de passer au travers des filtres de sécurité. Reproduisant le logo d’institutions auxquelles vous avez affaire (la Poste, votre banque…) ou signés du nom de personnes connues, ils font presque parfaitement illusion. Alors, comment distinguer ces faux mails des vrais ? Tout simplement, en fonction de leur contenu. S’ils vous réclament de l’argent, des coordonnées bancaires ou des mots de passe, vous pouvez être absolument certain qu’il s’agit de tentatives de vous piéger. N’ouvrez pas les pièces jointes, ne cliquez pas sur les liens, marquez le mail comme indésirable et, avant de l’effacer, signalez-le à une plateforme ou organisation compétente en la matière.

2. N’acceptez pas n’importe quel travail

Les offres d’emploi truquées sont une pratique de plus en plus répandue sur internet. Elles consistent à vous contacter par mail ou par le biais de réseaux sociaux et à vous proposer de réaliser un travail confortablement rémunéré. Lorsque l’emploi en question correspond à vos compétences et que vous recevez un chèque d’avance, vous n’avez a priori aucune raison de vous méfier. Mais quelque temps plus tard, alors que tout vous semble en ordre, un courrier vous est adressé, vous informant qu’une erreur a été commise dans le calcul de vos honoraires et que vous êtes prié de rembourser la différence. Souvent, ce n’est bien qu’après vous être acquitté de la somme réclamée que vous découvrez que le mandat reçu au départ était en réalité factice ou le chèque non provisionné. Pour éviter ce genre d’arnaque, n’acceptez pas de travail sans garanties. Un bon moyen de vous assurer qu’il s’agit d’une proposition sérieuse est d’effectuer des recherches dans les forums. Si personne d’autre que vous n’a entendu parler de l’employeur ni de la boîte qui vous a contacté, classez directement ses mails parmi les spams.

3. Protégez vos données

Même si les hackers possèdent des techniques toujours plus élaborées pour dérober les mots de passe des internautes, mieux vous protégerez vos données, moins vous risquerez de vous faire piéger. Tout d’abord, peaufinez vos mots de passe. De plus en plus de sites marchands insistent sur la nécessité de recourir à des combinaisons de chiffres et de lettres, de majuscules et de minuscules. Ensuite, pour régler vos achats sur internet, servez-vous d’une carte sécurisée, avec l’envoi d’un code à part sur votre téléphone mobile. La plupart des banques proposent aujourd’hui cette option et elle est souvent gratuite. Enfin, si vous êtes adepte des réseaux sociaux, n’acceptez pas l’amitié de n’importe qui. Les profils séduisants au nom inconnu, associés à une belle photo, sont à éviter absolument si l’identité de la personne en question ne vous dit rien. Très probablement, il s’agit d’un faux ami dont l’acceptation dans votre réseau risque de vous valoir le téléchargement d’un logiciel espion tout prêt à s’emparer de vos données personnelles.

4. Ne cliquez pas sans réfléchir

Lorsque vous faites vos achats sur un nouveau site ou que vous créez votre profil d’abonné dans une boutique en ligne, on vous demande souvent de renseigner vos méthodes de paiement et les coordonnées qui leur sont associées. C’est le moment pour vous d’ouvrir l’œil et de redoubler de méfiance ! En effet, si les grandes enseignes commerciales prévoient généralement un traitement des données sécurisé, d’autres pièges peuvent vous être tendus de clic en clic, sans même éveiller votre attention. Il peut s’agir de la souscription à un abonnement gratuit mais soumis à des obligations d’achat, ou encore payable chaque mois par débit automatique… Aussi, chaque fois que vous réalisez ce genre d’opération, vous devez prendre le temps de lire le contenu des fenêtres qui s’ouvrent à droite ou à gauche sur la page. En particulier, soyez attentif lorsque vous acceptez les conditions d’achat. Et une fois le paiement effectué, consultez vos relevés de compte pour vous assurer que la somme prélevée est bien celle à laquelle vous vous attendiez.